Les établissement scolaires ouvriront leurs portes le
3 octobre. L’école malienne a aussi connu d’énormes
difficultés conjoncturelles et structurelles durant
plusieurs années. Les nouvelles autorités, préoccupées
par l’avenir des enfants, des bâtisseurs de demain,
s’emploient à faire de l’école une des priorités
nationales.
Au sujet de l’école, ATT indiquait
récemment : « il me semble très urgent de remettre au
travail notre école après l’avoir revitalisée; une
école pour tous, qui ouvrira pour chacun une voie, sa
voie« .
Depuis son accession au pouvoir, de louables efforts
sont en train d’être menées pour mettre les scolaires
en bon conditions.
La pose de la pierre de ces deux nouvelles salles
procède de cette situation car l’ancienne salle de
l’ENA était vestute. Après avoir fait l’état de lieux
de l’éducation, les autorités sont engagées sur la
voie de la modernisation de l’école.
Pour gagner le
pari, le gouvernement au cours du conseil des
ministres du 18 septembre 2005 a adopté un projet de
loi des finances dans lequel le budget de l’éducation
est passé de 128,703 milliards de FCFA en 2005 à
158,490 milliards de FCFA soit un taux d’accroissement
de 23,14%.
Le président de la République a souci de
préparer d’excellents cadres pour le Mali de demain.
C’est pourquoi le gouvernement ne lésine pas sur les
moyens pour moderniser notre milieu scolaire et
permettre aux étudiants d’étudier dans des conditions
décentes.
Ces mesures tendant à renforcer les acquis
et à créer un cadre idéal pour les études,
contribueront nous l’espérons, à trouver des solutions
durables aux problèmes délicates de l’école malienne
et à remettre l’école dans son cadre de formation par
excellence.
Tiémoko TRAORE
29 septembre 2005.
