Les principaux Secrétaires généraux des syndicats de la Police nationale du District et de Kati, se sont réunis, le vendredi 19 mars, au Groupement mobile de Sécurité (GMS) situé à N’Tomikorobougou. A l’ordre du jour la restitution de la rencontre du syndicat de la police et celui des chauffeurs avec le ministre de la Sécurité et de la Protection civile,le lundi 15 mars. L’occasion était également bonne pour appeler les différents responsables syndicaux à faire front commun pour assurer une meilleure protection de l’agent de police dans l’exercice de sa fonction.
Cette rencontre, présidée par le Secrétaire général du syndicat de la police nationale, Tidiane Coulibaly, ont pris part le Secrétaire général du syndicat du GMS, le sergent chef Siriman Koné, le Secrétaire général du syndicat de la Compagnie de la circulaire routière, l’Adjudant Boubacar Dogoré, le Secrétaire général du comité de Kati et des membres syndicaux.
Il s’agissait pour les Secrétaires généraux qui ont pris part à la rencontre avec le ministre de la Sécurité intérieure et de la Protection civile le lundi 15 mars en présence du syndicat des chauffeurs suite aux derniers incidents qui ont émaillé la capitale et qui ont mis à mal les relations entre les policiers et les transporteurs, de faire part aux autres responsables syndicaux du District et de Kati du contenu de cette rencontre et les points de vue défendus par leurs représentants.
C’est ainsi que dans son compte rendu, le SG du Syndicat de la police nationale, Tidiane Coulibaly, a indiqué que les incidents qui se sont produits durant le mois de février et mars et qui ont occasionné des morts d’hommes du côté des chauffeurs ont donné lieu à des agressions de policiers de la part des badaux.
Des réactions que les syndicats des policiers ont vivement dénoncées et qu’ils ne souhaiteraient pas voir se reproduire. » Nous ne tolérons plus que de tels actes se reproduisent.
Nous ne tolérons plus jamais que des badauds, des vagabonds s’attaquent aux fonctionnaires de police dans l’exercice de leur fonction » a lancé avec force le Secrétaire général du syndicat de la police nationale, Tidiane Coulibaly, à l’adresse des différents responsables qui sont, dès lors, inviter à tenir des assemblées générales avec leurs bases pour diffuser ce message.
Des propos qui seront conforté par un autre responsable syndical : « nous sommes dans un État de droit. Le policier dans un carrefour est le représentant de l’État. Nous ne voulons plus voir un policier en train d’être poursuivi dans les rues. Nous voulons que notre police soit respectée « .
Tout en dénonçant avec fermeté les violences à l’encontre de leurs militants, les responsables syndicaux n’ont pas manqué de souligner les maux qui sont les leurs notamment la mauvaise gestion des ressources humaines, la lenteur dans l’envoi des renforts et le comportant indigne de certains CCR. Avant d’indiquer que « l’élément CCR doit avoir un comportement qui honore la police ».
Les responsables syndicaux ont mis l’accent sur la cohésion en leur sein avant de rassurer leurs militants en affirmant que » ceux-ci doivent travailler dans la légalité et le syndicat saurait défendre leurs intérêts ».
Les principaux Secrétaires généraux des syndicats de la Police nationale du District et de Kati, se sont réunis, le vendredi 19 mars, au Groupement mobile de Sécurité (GMS) situé à N’Tomikorobougou. A l’ordre du jour la restitution de la rencontre du syndicat de la police et celui des chauffeurs avec le ministre de la Sécurité et de la Protection civile,le lundi 15 mars.
L’occasion était également bonne pour appeler les différents responsables syndicaux à faire front commun pour assurer une meilleure protection de l’agent de police dans l’exercice de sa fonction.
cette rencontre, présidée par le Secrétaire général du syndicat de la police nationale, Tidiane Coulibaly, ont pris part le Secrétaire général du syndicat du GMS, le sergent chef Siriman Koné, le Secrétaire général du syndicat de la Compagnie de la circulaire routière, l’Adjudant Boubacar Dogoré, le Secrétaire général du comité de Kati et des membres syndicaux.
Il s’agissait pour les Secrétaires généraux qui ont pris part à la rencontre avec le ministre de la Sécurité intérieure et de la Protection civile le lundi 15 mars en présence du syndicat des chauffeurs suite aux derniers incidents qui ont émaillé la capitale et qui ont mis à mal les relations entre les policiers et les transporteurs, de faire part aux autres responsables syndicaux du District et de Kati du contenu de cette rencontre et les points de vue défendus par leurs représentants.
C’est ainsi que dans son compte rendu, le SG du Syndicat de la police nationale, Tidiane Coulibaly, a indiqué que les incidents qui se sont produits durant le mois de février et mars et qui ont occasionné des morts d’hommes du côté des chauffeurs ont donné lieu à des agressions de policiers de la part des badaux. Des réactions que les syndicats des policiers ont vivement dénoncées et qu’ils ne souhaiteraient pas voir se reproduire.
» Nous ne tolérons plus que de tels actes se reproduisent. Nous ne tolérons plus jamais que des badauds, des vagabonds s’attaquent aux fonctionnaires de police dans l’exercice de leur fonction » a lancé avec force le Secrétaire général du syndicat de la police nationale, Tidiane Coulibaly, à l’adresse des différents responsables qui sont, dès lors, inviter à tenir des assemblées générales avec leurs bases pour diffuser ce message.
Des propos qui seront conforté par un autre responsable syndical : « nous sommes dans un État de droit. Le policier dans un carrefour est le représentant de l’État. Nous ne voulons plus voir un policier en train d’être poursuivi dans les rues. Nous voulons que notre police soit respectée « .
Tout en dénonçant avec fermeté les violences à l’encontre de leurs militants, les responsables syndicaux n’ont pas manqué de souligner les maux qui sont les leurs notamment la mauvaise gestion des ressources humaines, la lenteur dans l’envoi des renforts et le comportant indigne de certains CCR. Avant d’indiquer que « l’élément CCR doit avoir un comportement qui honore la police ».
Les responsables syndicaux ont mis l’accent sur la cohésion en leur sein avant de rassurer leurs militants en affirmant que » ceux-ci doivent travailler dans la légalité et le syndicat saurait défendre leurs intérêts.”
Mamadou Lamine DEMBELE
22 Mars 2010.