En ce début de mois de carême, certains commerçants de la place refusent d’aligner les prix de leurs produits à ceux des autres. C’est ainsi que certains vendent le sac de sucre à 16 500 F CFA, tandis que d’autres le proposent à 17 500 F. Quelle cupidité de leur part ?
Contrairement aux autres années, cette fois-ci, les prix des produits de première nécessité : le lait, l’huile, la viande entre autres ont connu des hausses substantielles avant même l’approche du mois bénit. Et à deux mois du carême, cette tendance se poursuit.
Le gouvernement a décidé alors d’exonérer les produits de première nécessité entre autres, lait, sucre, huile, farine en poudre pour soulager les consommateurs. Mais malgré tout, certains commerçants indélicats, avides d’argent, vendent ces produits plus chers.
Le carême étant un mois de solidarité, ces commerçants ne doivent pas persévérer dans ces pratiques.
Mamadi TOUNKARA
13 septembre 2007.