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miss.jpgEn prélude au dîner Gala organisé pour l’occasion, les organisateurs du concours de sélection de la Miss Sahel étaient face aux hommes des médias pour les édifier sur le parcours de la miss, de son élection à nos jours. La conférence de presse a démarré par les mots de bienvenue du représentant de l’Action Plus, M. Ismaël Diawara qui a donné une explication brève de l’initiative de sa création à nos jours et les ambitions et attentes du concours de sélection de Miss Sahel.

Quant à la promotrice de l’agence En Vogue, la principale organisatrice de Miss Sahel, Mme Rosie Bouzas, elle a remercié les uns et les autres d’avoir effectué le déplacement jusqu’au musée. Avant de mettre l’accent sur l’idée de la création du concours Miss Sahel. Selon la promotrice : “Quand on a perdu la licence de Miss Malaïka organisée ici à Bamako, et comme nous avions toujours des sponsors, nous avons décidés de créer une nouvelle sélection de beauté africaine sahélienne tout en élargissant les visions et les ambitions, c’est pourquoi nous avons décidé, à travers ces organisations d’apporter les bénéfices aux associations humanitaires”.

Après l’intervention de la promotrice, ce fut le tour de la miss Alida-ki Julie de nationalité Burkinabé de s’adresser à la presse. Très émue, par cette prestigieuse couronne qui représente la beauté africaine, particulièrement sahélienne. Julie dira: “je suis très contente de porter cette couronne qui est plus qu’une couronne de beauté. C’est une couronne de beauté, d’intégration, et surtout de concours aux associations humanitaires, particulièrement aux enfants séropositifs”.

C’est ensuite le représentant du Grade Com, M. Madane Bagayoko qui a fait l’historique de la collaboration entre son organe et l’Agence en Vogue.

M. Bagayoko n’a pas manqué de parler des activités que la miss doit mener au cours du voyage qu’elle doit effectuer dans la région de Sikasso pour apporter son plus aux associations humanitaires de la région car, le rôle de la miss de cette première édition était “l’éducation de la jeune fille”.

Elle doit veiller à cela durant son mandat. Avant la fin de la cérémonie, la promotrice a dit que la deuxième édition sera pour bientôt et que dix pays y participeront contre 7 pays lors de la précédente.

Moussa KONDO / Nouvel Horizon du 27 fev 07