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Bientôt un nouvel organigramme pour relever le défi du développement intégré

Amener tous les acteurs de l’Office du Niger à dégager une synergie d’action afin de permettre à l’entreprise de mieux répondre aux besoins du développement intégré. Telle est la motivation du Président directeur général de l’Office du Niger, Kassoum Denon, en organisant un atelier interne sur la réorganisation et l’orientation des activités de l’entreprise.

C’est, en principe, demain vendredi, que les participants (cadres, paysans et responsables des organisations paysannes) de l’atelier de réorganisation et d’orientation de l’Office du Niger doivent présenter un nouvel organigramme de l’entreprise après une semaine de travaux au CERFITEX de Ségou.

L’Office du Niger est, depuis belle lurette, confronté à des contraintes majeures qui bloquent l’atteinte de ses objectifs se résumant à la réalisation de l’autosuffisance alimentaire et la réduction de la pauvreté. Ces contraintes sont d’ordre administratif et financier, technique, institutionnel et structurel, organisationnel et fonctionnel. Sans compter celles liées à la planification et à la statistique.

Les contraintes administratives et financières ont trait, quant à elles, à l’absence de plan de carrière des travailleurs avec, à la clé, un manque de stratégie de gestion des ressources humaines, l’inadaptation de la politique de recrutement du personnel, les difficultés de mobilisation des ressources (redevances et comptes État), l’insuffisance d’application de la comptabilité-matière et de la comptabilité analytique en plus de l’insuffisance de la formation du personnel (perfectionnement et formation qualifiée).

Les contraintes techniques ont pour noms l’insuffisance de l’eau pendant l’étiage et celle du service de l’eau, de l’entretien du réseau hydraulique, la problématique des 3 E (envahissement, érosion et envasement des canaux) la dégradation des sols, l’inexistence de manuel de gestion de l’eau et de maintenance, la non-sécurisation des ouvrages et la pression foncière. Sans compter l’insuffisance de coordination des grands projets (Malibya, Nouvelle SUKALA, SOSUMAR, MCA, UEMOA et COVEC…) et surtout du manque de professionnalisation des organisations paysannes, de l’équipement agricole et l’insuffisance d’information des services.

S’agissant des contraintes institutionnelles, elles sont liées à l’insuffisance de la prise en compte de nouvelles stratégies et politiques nationales de développement, l’inadaptation des structures opérationnelles et le manque de synergie entre l’Office du Niger et les autres missions dévolues pour le développement intégré de la zone et celle du manuel de procédures de gestion.

La mauvaise circulation de l’information entre les cadres et entre les services, l’inexistence d’un véritable plan de travail au niveau du service, d’environnement social et organisationnel performant font partie des contraintes fonctionnelles. Celles relatives à la planification et à la statistique ont trait à l’insuffisance de la planification des activités, de leur suivi et de leur coordination. S’y ajoute l’insuffisance structurelle.

Face à ces contraintes, une étude d’audit organisationnel a été commanditée en 2006, suivie d’une réorganisation en 2008 qui n’a pas répondu à toutes les attentes. Ainsi, face à la volonté affichée du président de la République, Amadou Toumani Touré, d’imprimer un développement global intégré à la zone Office du Niger avec la création du Secrétariat d’État auprès du Premier ministre en charge de la question, il est devenu nécessaire de créer une adaptation entre cette nouvelle vision et les activités à mener pour un développement durable. Pour cela, six axes de réflexion sont retenus pour cet atelier de la réorganisation.

Il s’agit, premièrement, de la gestion administrative, financière et des ressources humaines. DeuxièmeAmener tous les acteurs de l’Office du Niger à dégager une synergie d’action afin de permettre à l’entreprise de mieux répondre aux besoins du développement intégré. Telle est la motivation du Président directeur général de l’Office du Niger, Kassoum Denon, en organisant un atelier interne sur la réorganisation et l’orientation des activités de l’entreprise.

C’est, en principe, demain vendredi, que les participants (cadres, paysans et responsables des organisations paysannes) de l’atelier de réorganisation et d’orientation de l’Office du Niger doivent présenter un nouvel organigramme de l’entreprise après une semaine de travaux au CERFITEX de Ségou.

L’Office du Niger est, depuis belle lurette, confronté à des contraintes majeures qui bloquent l’atteinte de ses objectifs se résumant à la réalisation de l’autosuffisance alimentaire et la réduction de la pauvreté. Ces contraintes sont d’ordre administratif et financier, technique, institutionnel et structurel, organisationnel et fonctionnel. Sans compter celles liées à la planification et à la statistique.

Les contraintes administratives et financières ont trait, quant à elles, à l’absence de plan de carrière des travailleurs avec, à la clé, un manque de stratégie de gestion des ressources humaines, l’inadaptation de la politique de recrutement du personnel, les difficultés de mobilisation des ressources (redevances et comptes Etat), l’insuffisance d’application de la comptabilité-matière et de la comptabilité analytique en plus de l’insuffisance de la formation du personnel (perfectionnement et formation qualifiée).

Les contraintes techniques ont pour noms l’insuffisance de l’eau pendant l’étiage et celle du service de l’eau, de l’entretien du réseau hydraulique, la problématique des 3 E (envahissement, érosion et envasement des canaux) la dégradation des sols, l’inexistence de manuel de gestion de l’eau et de maintenance, la non-sécurisation des ouvrages et la pression foncière. Sans compter l’insuffisance de coordination des grands projets (Malibya, Nouvelle SUKALA, SOSUMAR, MCA, UEMOA et COVEC…) et surtout du manque de professionnalisation des organisations paysannes, de l’équipement agricole et l’insuffisance d’information des services.

S’agissant des contraintes institutionnelles, elles sont liées à l’insuffisance de la prise en compte de nouvelles stratégies et politiques nationales de développement, l’inadaptation des structures opérationnelles et le manque de synergie entre l’Office du Niger et les autres missions dévolues pour le développement intégré de la zone et celle du manuel de procédures de gestion.

La mauvaise circulation de l’information entre les cadres et entre les services, l’inexistence d’un véritable plan de travail au niveau du service, d’environnement social et organisationnel performant font partie des contraintes fonctionnelles. Celles relatives à la planification et à la statistique ont trait à l’insuffisance de la planification des activités, de leur suivi et de leur coordination. S’y ajoute l’insuffisance structurelle.

Face à ces contraintes, une étude d’audit organisationnel a été commanditée en 2006, suivie d’une réorganisation en 2008 qui n’a pas répondu à toutes les attentes. Ainsi, face à la volonté affichée du président de la République, Amadou Toumani Touré, d’imprimer un développement global intégré à la zone Office du Niger avec la création du Secrétariat d’État auprès du Premier ministre en charge de la question, il est devenu nécessaire de créer une adaptation entre cette nouvelle vision et les activités à mener pour un développement durable. Pour cela, six axes de réflexion sont retenus pour cet atelier de la réorganisation.

Il s’agit, premièrement, de la gestion administrative, financière et des ressources humaines. DeuxièmeAmener tous les acteurs de l’Office du Niger à dégager une synergie d’action afin de permettre à l’entreprise de mieux répondre aux besoins du développement intégré. Telle est la motivation du Président directeur général de l’Office du Niger, Kassoum Denon, en organisant un atelier interne sur la réorganisation et l’orientation des activités de l’entreprise.

C’est, en principe, demain vendredi, que les participants (cadres, paysans et responsables des organisations paysannes) de l’atelier de réorganisation et d’orientation de l’Office du Niger doivent présenter un nouvel organigramme de l’entreprise après une semaine de travaux au CERFITEX de Ségou.

L’Office du Niger est, depuis belle lurette, confronté à des contraintes majeures qui bloquent l’atteinte de ses objectifs se résumant à la réalisation de l’autosuffisance alimentaire et la réduction de la pauvreté. Ces contraintes sont d’ordre administratif et financier, technique, institutionnel et structurel, organisationnel et fonctionnel. Sans compter celles liées à la planification et à la statistique.

Les contraintes administratives et financières ont trait, quant à elles, à l’absence de plan de carrière des travailleurs avec, à la clé, un manque de stratégie de gestion des ressources humaines, l’inadaptation de la politique de recrutement du personnel, les difficultés de mobilisation des ressources (redevances et comptes Etat), l’insuffisance d’application de la comptabilité-matière et de la comptabilité analytique en plus de l’insuffisance de la formation du personnel (perfectionnement et formation qualifiée).

Les contraintes techniques ont pour noms l’insuffisance de l’eau pendant l’étiage et celle du service de l’eau, de l’entretien du réseau hydraulique, la problématique des 3 E (envahissement, érosion et envasement des canaux) la dégradation des sols, l’inexistence de manuel de gestion de l’eau et de maintenance, la non-sécurisation des ouvrages et la pression foncière. Sans compter l’insuffisance de coordination des grands projets (Malibya, Nouvelle SUKALA, SOSUMAR, MCA, UEMOA et COVEC…) et surtout du manque de professionnalisation des organisations paysannes, de l’équipement agricole et l’insuffisance d’information des services.

S’agissant des contraintes institutionnelles, elles sont liées à l’insuffisance de la prise en compte de nouvelles stratégies et politiques nationales de développement, l’inadaptation des structures opérationnelles et le manque de synergie entre l’Office du Niger et les autres missions dévolues pour le développement intégré de la zone et celle du manuel de procédures de gestion.

La mauvaise circulation de l’information entre les cadres et entre les services, l’inexistence d’un véritable plan de travail au niveau du service, d’environnement social et organisationnel performant font partie des contraintes fonctionnelles. Celles relatives à la planification et à la statistique ont trait à l’insuffisance de la planification des activités, de leur suivi et de leur coordination. S’y ajoute l’insuffisance structurelle.

Face à ces contraintes, une étude d’audit organisationnel a été commanditée en 2006, suivie d’une réorganisation en 2008 qui n’a pas répondu à toutes les attentes. Ainsi, face à la volonté affichée du président de la République, Amadou Toumani Touré, d’imprimer un développement global intégré à la zone Office du Niger avec la création du Secrétariat d’État auprès du Premier ministre en charge de la question, il est devenu nécessaire de créer une adaptation entre cette nouvelle vision et les activités à mener pour un développement durable. Pour cela, six axes de réflexion sont retenus pour cet atelier de la réorganisation.

Il s’agit, premièrement, de la gestion administrative, financière et des ressources humaines. Deuxièmement, de l’aménagement hydro-agricole, du foncier et du cadastre, la gestion de l’eau et l’entretien du réseau hydraulique, le conseil rural et l’équipement agricole, ainsi que le développement communautaire.

En troisième lieu, il y a l’organisation institutionnelle et structurelle. Quatrièmement, il s’agit de la réorganisation de l’organigramme de l’entreprise et, cinquièmement, du fonctionnement de celui-ci. Enfin, en sixième et dernier lieu, il s’agit d’élaborer une politique de planification et de statistique de développement de l’Office du Niger.

Pour tout dire, il s’agit d’insuffler une nouvelle dynamique à l’audit interne de gestion, à la bonne gouvernance, à la gestion du contentieux et du conseil juridique, à l’information de gestion, à la communication et au multimédia.

Pour le Président directeur général de l’Office du Niger, Kassoum Denon, « tout ce travail se fera en parfaite harmonie avec le Schéma directeur général de l’entreprise, la Loi d’orientation agricole à travers le Projet de développement économique et social (PDES) et les résultats seront partagés avec les Partenaires Techniques et Financiers (PTF)’’.

Alassane DIARRA

Envoyé spécial à Ségou

01 Avril 2010