Il est essentiel pour nous les femmes d’avoir une hygiène corporelle au top et quand les mauvaises odeurs de la transpiration viennent gâcher nos efforts, il faut y remédier rapidement. Il est donc essentiel de choisir un bon déodorant pour régler ces problèmes. Mais devant la multitude de produits qui sont proposés, comment fixer son choix ? Découvrez comment choisir le déodorant qui vous convient.
Les déodorants permettent de masquer l’odeur de la transpiration tandis que les anti-transpirants limitent la sécrétion de sueur et préviennent les mauvaises odeurs. Cependant, les premiers que l’on retrouve aujourd’hui sur le marché regroupent les deux actions.
Les différents types de déodorants :
Spray, stick ou gels, les déodorants existent aujourd’hui sous de nombreuses formes.
– Les sprays : ils permettent de stopper localement la sécrétion de sueur. Faciles à utiliser, les sprays donnent une sensation de fraîcheur. Ils peuvent être alcoolisés ou diffuser une poudre sèche qui sert de support aux anti-transpirants. On en trouve aujourd’hui en taille mini, à glisser dans son sac !
– Les roll-on, stick ou crèmes : ultra pratiques, esthétiques et ergonomiques, ils sont plus efficaces que les déodorants en spray car ils possèdent une forte concentration de sels d’aluminium. A conseiller aux personnes qui souffrent d’une transpiration importante.
Avantage du stick : pratique et sûr, il ne tâche pas.
Avantage du roll-on : il délivre une émulsion humide, qui sèche vite et donne une sensation de fraîcheur très agréable.
Avantage du déodorant crème : il est doux et sans alcool, parfaitement adapté aux peaux sensibles.
Avec ou sans alcool :
L’alcool possède des propriétés antiseptiques et joue le rôle de conservateur. Il entre aussi dans la composition du parfum. Si vous avez la peau sensible, évitez les déodorants alcoolisés qui agressent la peau.
A savoir : évitez d’appliquer un déodorant contenant de l’alcool juste après une épilation ou en cas d’irritation cutanée sous peine de ressentir une sensation de brûlure sur la peau.
Le débat autour des sels d’aluminium…
S’il est désormais démenti qu’ils puissent provoquer des cancers du sein, ils restent associés à la maladie d’Alzheimer depuis que l’on a trouvé des concentrations importantes d’aluminium dans les parties du cerveau touchées par la maladie. Ce qui est sûr, c’est que l’aluminium traverse facilement la barrière cutanée et qu’il peut s’accumuler dans les organes ce qui n’est pas forcement à leur goût !