Le rectorat de l’Université et le comité syndical de l’EN Sup/Flash ont enfin mis un peu d’eau dans leur vin afin d’éloigner le spectre de la session unique. Ils se sont en effet entendus sur la rémunération des tâches liées aux examens, qui restait l’un des points d’achoppement.
Désormais, au-delà de 200 copies, la correction de chaque lot de 50 copies serait payée à 5000 F CFA, ce qui représente une enveloppe financière de près de 10 millions F CFA par an.
Le rectorat a également promis aux enseignants de s’impliquer dans la recherche de solution à leur doléance relative à la prime de logement.
Il a notamment proposé la restitution de la vieille cité de Badalabougou, l’octroi de logements sociaux et l’appui dans l’obtention des prêts bancaires.
C’est sur la base de ces propositions que le comité syndical a décidé d’organiser les examens de la 2e session tout en poursuivant les négociations sur la question cruciale de la hiérarchisation, qui reste une épée de Damoclès sur l’EN Sup/Flash.
S. Y. D.
24 novembre 2005.
