Partager

La conférence a été animée par Harouna Barry, sociologue en présence du Directeur du Centre Seydou Djimdé, de Fatoumata Sow, membre fondatrice du Centre, de Mme Diossely, vice-présidente du Comité Exécutif du parti PARENA ainsi que des membres du Comité Exécutif du PARENA.

Plusieurs responsables politiques ont répondu à l’appel. Il s’agit de Dioncounda Traoré, Président de l’ADEMA, Victor Sy, de l’US-RDA, pour ne citer que ceux-ci.

Le Centre Diossely Koné entend, à travers cette activité, apporter une première contribution au renforcement des capacités des acteurs de la démocratie au Mali.

Dans son mot de bienvenue, Seydou Djimdé a déclaré « le Centre Diossely Koné a choisi le 25 mai comme point de départ de ses activités, avec un thème dont le choix n’est pas fortuit. Cette date doit être célébrée car aucun pays ne peut trouver tout seul les réponses, seule l’Afrique unie pourrait y parvenir ».

Pour lui, le parlementarisme occupe une place importante dans le concert des institutions démocratiques. Avant d’ajouter que « le renforcement de la démocratie ne saurait se concevoir sans la reconnaissance de la place et du rôle du parlement. L’effort d’intégration des pays africains les a conduits à mettre en place des ensembles sous-régionaux tels que la CEDEAO et l’UEMOA et panafricains tels que l’Union Africaine. Et chaque ensemble s’est doté d’un parlement dont la mission est de contrôler l’exécutif « .

C’est le dispositif que le conférencier Harouna Barry a présenté à l’assistance afin que les femmes et les jeunes puissent en tirer un grand profit.

Aux dires de Seydou Djimdé, le Centre Diossely Koné interviendra à l’avenir à travers des conférences-débats mensuelles, des sessions de formation bimestrielles et une conférence internationale annuelle à l’endroit des citoyens et citoyennes, en particulier les jeunes et les femmes.

Alou B Haïdara

26 mai 2005