Faire le point de l’évolution de ses travaux, tel était l’objet de la conférence de presse de la Commission Electorale nationale indépendante (CENI).
Augmenter le seuil de l’appel d’offres de 10 à 25 millions f CFA. C’est l’une des principales innovations du projet de nouveau code des marchés que le ministre de l’Economie et des Finances s’apprête à introduire en conseil des ministres pour adoption.
Le nord de notre pays serait entrain d’accueillir avec le soutien de l’Alliance du 23 mai pour le changement de nouveaux combattants des pays voisins. Ce renforcement de l’Alliance inquiéterait les autorités. Aussi, les insurgés auraient-ils déposé de nouvelles revendications sur la table du gouvernement.
Malgré des déclarations tapageuses de soutien voire le ralliement des partis à des candidatures non encore déclarées, l’horizon politique malien est loin d’être éclairci.
S’il y a un régime qui a pillé le Mali, c’est sans doute l’Adema-PASJ (Parti Africain pour la Solidarité et la Justice). Lorsque l’Adema prenait le pouvoir le 8 juin 1992, le Mali était encore fier de ses ressources humaines, de ses potentialités économique et minière, loin d’ajouter un plus à cet héritage fort éloquent, le régime Adema a plutôt procédé à une privatisation à outrance et sauvage des Société et Entreprise d’Etat dont certaines pouvaient encore être restructurées, ont été bradées. Il a donc suffi dix petites années à certains caciques, barons, démocrates sincères et patriotes convaincus de l’Abeille de tout vendre et les grands perdants aujourd’hui ce sont les Maliens. L’argent du bradage tombait directement dans leur poche tels les cas de Malitel – ACI, la Cession de plusieurs bâtiments publics, les ventes de salles de cinéma Rio, Rex, Babemba sont entre autre des actes rocambolesques savamment montés contre le peuple.
Face au danger qui guette la République, il faut un nouveau discours, une nouvelle stratégie, une nouvelle classe politique, une nouvelle alliance, des patriotes qui se soucient de l’avenir de notre pays dans le concert des nations.
C’est à l’unanimité que 98 députés sur 147 qui siègent à l’Assemblée nationale ont adopté la loi de finances 2007. Celle- ci, est arrêtée en dépenses à 976,602 milliards de F CFA contre 935,759 milliards en 2006. Le budget de la présidence est en baisse de 18,089 milliards de F CFA à 11,244452 en 2007.