La session ordinaire d’avril de l’assemblée nationale du Mali s’est ouverte lundi dernier. Occasion mise à profit par le président de l’institution, Ibrahim Boubacar Kéïta de prendre position par rapport à certaines questions brûlantes de l’heure.
Depuis l’avènement de la démocratie au Mali, celles qu’on nomme communément, «Premières dames du pays» tentent de forger une nouvelle image de l’épouse de chef de l’Etat, une image très ternie par celle qui a régné pendant 23 ans, jusqu’en mars 1991.
Le projet régional d’amélioration de la qualité des Cuirs et peaux a été présenté aux acteurs de la filière au cours d’un atelier national tenu, hier, dans la salle de conférence de la DAF du ministère de l’Elevage et de la Pêche. C’était en présence du Dr. Yacouba Samaké, secrétaire général dudit ministère.
Après le limogeage des trois directeurs généraux de la Sécurité d’Etat, de la Gendarmerie et de la Police, la semaine dernière, l’heure est aux spéculations sur les futures nominations à ces trois services de Sécurité.
A la Sécurité d’Etat, les choses se précisent.
Chargée de la défense des intérêts de l’Etat, la direction générale du contentieux de l’Etat (DGCE) est peu connue des usagers et des services publics. Pour corriger cette situation la DGCE a organisé hier une journée d’information.
Les jours précédents ont été marqués par plusieurs événements importants pour notre pays. Il y a eu tout d’abord la célébration du 14e anniversaire du 26 mars 1991, une date qui est symbole de la prise du pouvoir par le mouvement démocratique. Ce jour, il a été mis fin à 23 ans de dictature militaro-politique conduite par le CMLN et l’UDPM de Moussa Traoré.
La nouvelle est tombée hier : le Colonel Hamidou Cissoko, le Colonel Yaya Ouattara et le Contrôleur général de police Mahamadou Diagouraga, respectivement directeur général de la Sécurité d’Etat, directeur général de la gendarmerie et directeur général de la police nationale, ont été relevés de leurs fonctions. Ce sont là les premières sanctions prises par le Chef de l’Etat, suite aux incidents enregistrés à Bamako après le match Mali-Togo. D’autres sanctions pourraient suivre…
Chargée de la défense des intérêts de l’Etat, la direction générale du contentieux de l’Etat (DGCE) est peu connue des usagers et des services publics. Pour corriger cette situation la DGCE a organisé hier une journée d’information.
Les jours précédents ont été marqués par plusieurs événements importants pour notre pays. Il y a eu tout d’abord la célébration du 14e anniversaire du 26 mars 1991, une date qui est symbole de la prise du pouvoir par le mouvement démocratique. Ce jour, il a été mis fin à 23 ans de dictature militaro-politique conduite par le CMLN et l’UDPM de Moussa Traoré.
La nouvelle est tombée hier : le Colonel Hamidou Cissoko, le Colonel Yaya Ouattara et le Contrôleur général de police Mahamadou Diagouraga, respectivement directeur général de la Sécurité d’Etat, directeur général de la gendarmerie et directeur général de la police nationale, ont été relevés de leurs fonctions. Ce sont là les premières sanctions prises par le Chef de l’Etat, suite aux incidents enregistrés à Bamako après le match Mali-Togo. D’autres sanctions pourraient suivre…