Les jours précédents ont été marqués par plusieurs événements importants pour notre pays. Il y a eu tout d’abord la célébration du 14e anniversaire du 26 mars 1991, une date qui est symbole de la prise du pouvoir par le mouvement démocratique. Ce jour, il a été mis fin à 23 ans de dictature militaro-politique conduite par le CMLN et l’UDPM de Moussa Traoré.
La nouvelle est tombée hier : le Colonel Hamidou Cissoko, le Colonel Yaya Ouattara et le Contrôleur général de police Mahamadou Diagouraga, respectivement directeur général de la Sécurité d’Etat, directeur général de la gendarmerie et directeur général de la police nationale, ont été relevés de leurs fonctions. Ce sont là les premières sanctions prises par le Chef de l’Etat, suite aux incidents enregistrés à Bamako après le match Mali-Togo. D’autres sanctions pourraient suivre…
Chargée de la défense des intérêts de l’Etat, la direction générale du contentieux de l’Etat (DGCE) est peu connue des usagers et des services publics. Pour corriger cette situation la DGCE a organisé hier une journée d’information.
Les jours précédents ont été marqués par plusieurs événements importants pour notre pays. Il y a eu tout d’abord la célébration du 14e anniversaire du 26 mars 1991, une date qui est symbole de la prise du pouvoir par le mouvement démocratique. Ce jour, il a été mis fin à 23 ans de dictature militaro-politique conduite par le CMLN et l’UDPM de Moussa Traoré.
La nouvelle est tombée hier : le Colonel Hamidou Cissoko, le Colonel Yaya Ouattara et le Contrôleur général de police Mahamadou Diagouraga, respectivement directeur général de la Sécurité d’Etat, directeur général de la gendarmerie et directeur général de la police nationale, ont été relevés de leurs fonctions. Ce sont là les premières sanctions prises par le Chef de l’Etat, suite aux incidents enregistrés à Bamako après le match Mali-Togo. D’autres sanctions pourraient suivre…
Plus de 52 millions de recettes réalisées lors du match Mali-Togo dimanche dernier, de sources proches du ministère des sports. Il s’agit d’un record jamais atteint après le match Mali – Liberia lors de l’ouverture de la Can 2002.
Avertissement Pour de nombreux compatriotes, le cendre couve sur le plan social. Le déferlement de violences du week-end dernier est donc […]
Dans la nuit du dimanche dernier, 24 heures après avoir célébré la journée symbolique et mémorable du 26 mars 1991, le peuple Malien a été pris par les démons de la violence sauvage et de la destruction aveugle. C’était suite à la défaite de l’équipe nationale de football, les Aigles du Mali, contre les éperviers du Togo.
Les auteurs des actes de vandalismes perpétrés à travers la ville de Bamako après le match Mali-Togo comptant pour les éliminatoires combinés Can/Coupe du monde 2006 seront bientôt déférés devant les différents procureurs de la République près les tribunaux des 6 communes du District de Bamako. A ce sujet, une rencontre des parquets s’est tenue hier matin dans l’enceinte du Ministère de la justice.
Bamako gardera encore pour longtemps les stigmates de la folie destructrice des vandales qui ont attaqué et détruit plusieurs édifices publics, saccagé ou volé des biens privés après la rencontre Mali-Togo, joué le 27 mars. Soixante douze heures après ces incidents douloureux beaucoup d’interrogations subsistent. A savoir : pourquoi ce déferlement de violence ? Qui sont les casseurs ? Pourquoi, les forces de l’ordre étaient-elles invisibles en ville ? Pourquoi, ont-elles laissé la ville aux mains des vandales ?