Les habitants des quartiers Kalabancoura, Kalabancoro, Bacodjicoroni, Sabalibougou sont aujourd’hui soulagés. Un gang, classé parmi les plus cruels, vient d’être mis hors d’état de nuire. Cet exploit revient aux hommes du commissaire Missa Diakité en charge du commissariat de police du 11e arrondissement. Toute la journée du dimanche, des habitants d’autres quartiers de la capitale sont venus au commissariat pour témoigner ou faire des dépositions contre les deux malfrats. Ceux-ci semaient la terreur, sans discernement, dans les quartiers périphériques de la capitale.
Adama C., un jeune serveur de bar à Bamako, a longtemps rêvé de mettre dans son lit la jolie S. S, une vendeuse de rue.
Le visage du comédien Amadou Kassogué est familier à beaucoup de nos compatriotes. Ils le voient régulièrement sur le petit écran et dans les salles de cinéma. Outre la célébrité, cet artiste a de la veine. En effet, il avait été trompé il y a plus d’un an et avait perdu une importante somme d’argent et du matériel de communication. Il vient de mettre la main sur son voleur. Le malfrat, après avoir perpétré son coup, s’était terré pendant tout ce temps à Banconi Noumoribougou.
A Bamako, comme partout ailleurs, les jours se succèdent mais ne se ressemblent pas. Et si le voleur pense être plus futé que tout le monde il se trompe car tous les jours lui appartiennent sauf un : celui où il est pris la main dans le sac.
L’histoire que nous vous racontons aujourd’hui s’est produite à Bamako où vit depuis une année un jeune couple. Madou est entrepreneur et son épouse, Mariam, caissière dans une grande banque de la place.
Rokiatou est bien connue dans plusieurs commissariats de la place. Spécialiste du vol aux environs de 9 heures, notre héroïne du jour a volé à maintes reprises les bijoux, l’argent et les colliers de nombreuses grandes dames de la haute société bamakoise. Elle connaît par cœur leurs noms et leurs adresses.
Les charlatans, les guérisseurs et autres faiseurs de miracles sont légion dans nos villes. L’histoire qui suit s’est déroulée au quartier Kaboïla de Sikasso.
Le jeune A.C. est étudiant en troisième année à la Faculté des lettres, des arts et des sciences humaines (FLASH). Il loge, depuis bientôt trois ans dans une famille d’un quartier de la Commune III. A son arrivée dans cette famille, l’étudiant avait remarqué une fillette âgée d’une dizaine d’année.
Les bamakois connaissent bien le grand magasin de meubles, Orca, notre Ikéa national, tenu par une famille libanaise. Il a été la cible d’un client particulier.
Le jeune homme se dit âgé de 18 ans. Mais on lui en donnerait 4 de moins. Mince, il mesure à peine 1,60 mètre. Depuis des mois, il travaille au marché de Hamdallaye où il passe la journée à transporter les marchandises dans un pousse-pousse.