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Expulsés maliens d’Espagne : et de trois…

Après une première vague de 50 expulsés, une seconde de 62, une troisième vague d’expulsés maliens est arrivée avant hier de Madrid (Espagne). Ils étaient au total 40 expulsés à débarquer à l’aéroport de Bamako-Sénou. Ils ont été accueillis par des responsables du ministère des Maliens de l’Extérieur et des agents de la Direction de la protection civile. Le groupe après l’accueil a été logé a la Maison des jeunes avant leur rapatriement vers leurs localités d’origine.

Le siège après le sac

Hier, tôt le matin (vers 5 heures), les expulsés arrivés la veille ont convergé vers le ministère des Maliens de l’Extérieur. Très remontés, les 40 personnes ont souhaité rencontrer le ministre, actuellement en congés. Ils seront finalement reçus par le Secrétaire général dudit Ministère. Ce qui a contribué à faire baisser, la tension constatée à l’arrivée du groupe devant le département. Mais la police veillait. Et pour cause, dans la nuit du lundi à mardi dernier, un incident s’était produit à l’aéroport de Bamako-Sénou, à l’arrivée du second groupe d’expulsés à destination de l’Espagne. En effet, ceux-ci s’étaient attaqués aux installation du hall d’arrivée et avaient saccagé des matériels. Le dégât était important.

Paris : Dioncounda Traoré : de l’hôpital à l’Hôtel

Le Président de l’Adema PASJ, Dioncounda Traoré se porte maintenant comme un charme. En effet, après ses traitements médicaux dans une structure hospitalière parisienne, Dioncounda Traoré, a au début de la semaine, quitté l’hôpital pour l’hôtel Meridien-Momparnasse à Paris où il passe actuellement sa convalescence. Le Président de l’Adema est accompagné de son épouse, de sa fille et… de son petit fils, apprend t-on. Dioncounda Traoré indiquent nos sources, pourrait encore rester quelques jours dans la capitale française pour faire des contrôles médicaux avant son retour à Bamako.

Au chevet de Dioncounda

Plusieurs responsables et personnalités maliens actuellement en séjour à Paris ont rendu visite au Président de l’Adema, à l’hôtel Meridien-Momparnasse. Dans le lot, certains ministres de la République actuellement en congés à Paris, notamment le ministre de l’Elèvage et de la Pêche, Oumar Ibrahim Touré qui, selon nos sources, était dans le même hôtel que le Président de l’Adema.

Dioncounda Traoré : “on m’a enterré…”

En réponse aux rumeurs ayant circulé , la semaine dernière à Bamako, sur sa mort, Dioncounda Traoré aurait eu comme réponse : “on m’a déjà enterré à Bamako”. Il faisait précisément allusion au communiquée de décès rédigé par le Rassemblement pour le Mali (RPM), le parti de Ibrahim Boubacar Keïta, président de l’Assemblée nationale.

Condoléances à Mme Traoré

Le Téléphone de Mme Dioncounda Traoré n’a pas cessé de sonner le week-end dernier, à Paris. En effet, suite aux rumeurs du décès de son mari, elle a reçu des appels venant de partout. Les appelants voulaient présenter leurs condoléances. A chaque fois, Mme Traoré était obligée de démentir la nouvelle.

Routes : le pont Wabaria n’attend plus que son inauguration officielle

Les travaux de construction du pont Wabaria dans la région de Gao sont presque terminés. Le constat a été fait par le ministre des équipements et des transports, Abdoulaye Koïta, lors de sa dernière visite sur le chantier, en début de semaine. A part l’électrification du pont et l’installation des panneaux de signalisation, tous les autres travaux ont été exécutés par l’entreprise chinoise CSCEC. Ce pont est soutenu par 54 piliers, au lieu de 38 piliers prévus dans le projet initial. Il comporte 6 travées longues chacune de 45 mètres. La chaussée est composée de deux voies de 3,5 mètres chacune et deux trottoirs larges de 1,1 m et protégés par une glissière et un garde-corps. Les routes d’accès sont faites de trois sections d’une longueur totale de 15 km. Le coût des travaux de construction est élevé à huit (8) milliards de Fcfa contre 5,5 milliards dans le projet initial. Le financement a été fait par la Banque Islamique de développement et le budget national. Rappelons que la réalisation de cet ouvrage constituera un pas important dans le désenclavement de la 7e région non seulement mais également d’autres pays de la sous-régon.

PIDRN : places aux actes

Les locaux du Commissariat à la sécurité alimentaire ont abrité mercredi, la première réunion du Comité de pilotage du programme intégré de Développement des régions du Nord (PIDRN). Avec une enveloppe de 17,1 milliards Fcfa financée par le Fonds international pour le développement de l’agriculture (FIDA), la Banque Ouest africaine de développement (BOAD), le Fonds de survie belge, l’Etat malien et les bénéficiaires, le PIDRN est un vaste programme de développement qui s’étend sur sept (7) ans. Lancé par le président de la République, il y a trois mois à Tombouctou, l’objectif final du PIDRN est de réduire la vulnérabilité et la pauvreté dans les zones qu’il couvre en sécrétant un tissu économique et social durable. Le programme comprend deux volets. Le premier concerne les activités pour le reste de l’année en cours. Le deuxième prend en compte l’année 2007. Si le premier concernera l’installation des antennes locales qu’aura lieu en même temps que la mise en place des guides de suivi-évaluation, la production de module de formation et l’organisation d’une vaste campagne de sensibilisation auprès des populations bénéficiaire ; le second sera consacrée à l’organisation des formations programmées dans la première qui sera précédée d’une série d’ateliers de restitution. Le PIDRN intervient dans 14 Communes dans les cercles de Gourma Rharous, Bourem, Goundam et de Diré.

Rentrée 2006-2007 : le geste de solidarité du COTECNA

Dans quelques deux mois les élèves, actuellement en Vacances, vont reprendre le chemin des classes. C’est dans ce cadre que s’inscrit certaines actions de solidarité du COTECNA qui vient d’offrir il y a peu un total de 1000 cahiers à l’école fondamentale “Sibiri Coulibaly” de Lassa un établissement dont l’effectif s’élève à 517 élèves de la 1ère à la 6è année. Cette bonne action du Cotecna vient quelques jours seulement après un autre don fait à la pouponnière de Bamako.

Santé des yeux : l’IOTA se dote de six techniciens en lunettes

Le mal des yeux frappe par ces temps plein de gens. Aussi, toujours fidèle à sa vocation de servir d’outil efficace pour lutter contre certaines affection de la santé des yeux au Mali et dans la sous région, l’Institut d’Ophtalmologie Tropicale d’Afrique de l’Ouest (IOTA) vient de procéder au renforcement de capacités de six de ses agents (deux Maliens, trois Camerounais et un Guinéen) qui trois mois durant ont suivi une formation pour servir de techniciens lunetiers. Le mardi dernier-ceux-ci ont pu recevoir des mains du professeur Abdoulaye Diallo, directeur de l’institut, leurs attestions.

Ecobank : ces guichets électroniques

toujours défectueux Les usagers d’Ecobank, précisément ceux qui disposent de la carte électronique font ces derniers temps les frais de successives pannes de ces guichets. Le week-end dernier plusieurs usagers attendaient devant les guichets électroniques du siège et celui sis aux Halles de Bamako. Mais aucun de ceux-ci n’était fonctionnel. Ces guichets devaient aider les clients à faire face à certaines urgences. Malheureusement par ces pannes de plus en plus fréquentes les clients de cette banque commencent à faire entendre leur ras-le-bol.

11 août 2006.