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Mme Mariam Mahamat Nour représentante résidente de la FAO au Mali, Mme Frances Turner représentante résidente de l’UNICEF au Mali, représentants de plusieurs bailleurs de fonds, étaient présents à la cérémonie.

Le 18 mai passé, une première consultation avait eu lieu. Suite à cette consultation, le document du PNSA avait été enrichi par l’élaboration d’un cadre logique ainsi que d’un plan de financement, l’établissement ainsi que l’analyse des liens entre le PNSA et les programmes et projets sectoriels existants, la définition du rôle des différents intervenants et acteurs, à savoir, les bénéficiaires, producteurs, collectivités, associations signataires d’accord cadre avec l’état, les départements ministériels et le commissariat à la sécurité alimentaire et enfin la proposition d’un cadre de dialogue.

Partager d’une part les grandes lignes du document révisé conformément aux conclusions et recommandations de la consultation du 18 mai et d’autre part, s’engager à assurer la mise en œuvre du PNSA qui s’inscrit parmi les priorités du Cadre Stratégique de Lutte contre la Pauvreté, représentent les objectifs visés par cette rencontre.

La lutte pour la sécurité alimentaire reste une des grandes priorités des autorités maliennes.

D’un montant de 114 milliards de Fcfa, le présent programme doit apporter une réponse à la question fondamentale de savoir comment assurer la réalisation durable de la sécurité alimentaire au Mali dans les plus brefs délais, sinon au plus tard à l’horizon 2015.

Conscient du fait que la durabilité du développement en général et de la sécurité alimentaire en particulier dépend de l’effort endogène, le gouvernement, contribuera, dans la mesure de tous ses moyens au financement du PNSA, à hauteur de 500 millions de Fcfa au PNSA, a affirmé le ministre Diarra.

Grâce au PNSA, petites actions, simples et concrètes pour soulager la misère des populations en les aidant à assurer leur sécurité alimentaire et dégager des revenus pour assurer leurs soins de santé et éduquer leurs enfants, seront possibles.

Souhait a été émis par le ministre que les partenaires accompagnent le Mali pour des financements conséquents à ce programme prioritaire pour le Mali.

En réponse, les partenaires ont demandé la création d’un cadre de concertation sur la question.

Assurance a été donnée par Mme Nour, que la FAO ne ménagerait aucun effort pour apporter son expertise à la réussite de cette entreprise.

05 juillet 2005